lundi 25 juin 2007

J'ai piqué "ca" à un ami

Je veux des commentaires !

Ci je n'ai pas 10 commentaires sur mon blog d'ici la fin de la semaine: J'ARRETE !

Alors c'est pas compliqué:

- vous cliquez sur le liens : "x commentaire" en bas des articles (chercher bien)

- vous allez arrivez dans une nouvelle page avec ceci sur votre droite :

- Tapez votre commentaire.

- choisisez "AUTRE" comme identité et rentrez votre prenom ou pseudo.

- puis "PUBLIER COMMENTAIRE"

Allez j'aimerai bien avoir quelques retours sur mon blog, style où sont les fautes de francais... comment vous le trouvez, si vous venez souvent, etc...Merci d'avance.

Mon vélo et moi !


Je vous livre une anecdote concernant mon vélo.
Elle remonte au mois de Janvier.

En rentrant du cours de découverte de yoga, mon vélo a émit des gémissements pas tout à fait normaux, même pour son grand âge.
Une rapide auscultation ne m'a pas permis de découvrir la source du problème.
J'ai donc ré enfourché mon cheval fougueux. Mais à chaque tour de pédale, le problème s'accentuait. Le temps de trouver un réverbère pour éclairer la scène du crime et je découvre avec embarrât que le revêtement du pneu à cédé et la chambre à air, qui traverse à présent le caoutchouc, émet une superbe circonvolution qui grossit à vu d'œil.

Imaginez la scène : une petite française, juste débarquée de son pays natal, en panne sur un pont.
Que faire?
La suite au prochain épisode...

Je reprends la scène : dix heures du soir, je suis seule et perdue sur un pont dans Amsterdam, mon vélo n'avance plus car l'excroissance empêche la roue de tourner.

Solution 1 : Je pleure comme une madeleine et j'attends le chevalier en amure qui viendra me sauver.
Solution 2 : Je suis zen et détendue (je sorts d’un cours de Yoga) et je vais marcher jusqu'à mon home qui se situe à au moins 6 bons Km. Je laisse mon vélo sur place et je reviendrais demain pour réparer.
Solution 3 : Je perce d'un coup sec la chambre à air qui fait des siennes et j'enfourche le vélo, le pneu et la chambre sont de toute façon foutus, advienne que pourras.

Alors qu’en pensez-vous ?

Petit déj Royal


Il m’aura fallu attendre plusieurs mois pour trouver un café capable de servir un petit déj digne de se nom. Le cadre est agréable l’accueil excellent, le service impeccable !

La cerise sur le gâteau c’est la dégustation.
La marmelade est maison, la confiture aussi, le croissant délicieux (opinion d’une française avertie), le pain perdu doré à souhait, l’œuf mollé a point, le fromage excellent, la tranche de bacon gouteuse, le jus d’orange pressé à l’instant, les tranches de pain divines !
Du premier choix.

Ou se trouve cette merveille : au cœur d’Amsterdam dans une ruelle proche du Spui. La musique participe à l’ambiance « cosi », un fado berce ma dégustation.

Je vous livre l’adresse de cet endroit plein de charme : « Gartine » Taksteeg 7
Site web http://www.gartine.nl/ ok difficile de comprendre le hollandais, mais les photos parlent d’elles même !
Non, non je ne touche pas de commission. L’endroit est tellement sympathique que j’avais envie de partager l’adresse.

samedi 23 juin 2007

No comment !


Le sport









Le Pollux : mon site favoris pour alller boire une bière






















Easylaughs


Les « Easylaughs » c’est une troupe internationale de comédiens leur atout : l’improvisation.
Ils sévissent à Amsterdam tous les vendredi soir au Crea Muziekzaal, Turfdraagsterpad 17

J’ai assisté à la soirée de clôture de la saison, un régale. Que du bonheur jusqu’à Minuit.
Surprise, surprise une jeune forumeuse française était sur scène !

Comment ca marche :

Ils utilisent les suggestions de l’assistance pour exécuter des scènes de comédie.
L’interactivité est garantie.
Une forte énergie se dégage des comédiens qui sont parfois aussi mort de rire que l’assistance.
De l’improvisation pure et dure.
Ils ont une rapidité de réaction tout à fait étonnante.
Les zygomatiques sont fatigués en fin de soirée.
Ah, j’oubliais, ils utilisent la langue Anglo-Saxonne.

C’est génial pour débuter le weekend, à ne surtout pas manquer après une semaine difficile.

Attention les zygomatiques sont douloureux en fin de soirée.

Egypte éternelle : "Le roman de la Momie"


Théophile Gautier (1811-1872)
est né à Tarbes puis à vécu à Paris à partir de l'âge de 3 ans, c’est un déraciné :"Comme je ne savais que le patois Gascon, il me semblait que j'étais sur une terre étrangère, et une fois, aux bras de ma bonne, entendant des soldats qui passaient parler cette langue, pour moi la langue maternelle, je m'écriais "allons-nous-en avec eux ; ceux-là, ce sont des nôtres !'".
Robinson Crusoé et Paul et Virginie sont ses compagnons de lecture. Il se lie d’amitié avec Gérard de Nerval, et rencontre Hugo en 1829.
Il défend la cause du mouvement romantique et écrit de la poésie.
Il publie près de 300 volumes : des contes fantastiques, des récits de voyages, des romans historiques.
Il travail comme critique dramatique pour La Presse, Le Figaro, La Caricature, ou la Revue de Paris.

A sa mort – Victor Hugo dira :

"Fils de la Grèce antique et de la jeune France...Mage à Thèbes, druide au pied du noir menhir,Flamine au bords du Tibre et brahme au bord du Gange,Mettant sur l'arc du dieu la flèche de l'archangeD'Achille et de Roland hantant les deux chevets,Forgeur mystérieux et puissant tu savaisTordre tous les rayons dans une seule flamme."

"Le roman de la Momie"
L’histoire en 25 mots: Deux archéologues déchiffrent un papyrus trouvé dans le sarcophage d'une belle Égyptienne. C'est l'histoire de Tahoser, princesse éprise d'un hébreu et aimée d'un pharaon.

Ce que je retiens c'est le pouvoir évocateur des descriptions. Il peint parfaitement la majesté et l’aridité de l’Egypte dominée par implacable soleil : "Sur la paroi éclairée ruisselait en cascade de feu une lumière aveuglante (...) Chaque plan de roche, métamorphosé en miroir ardent, la renvoyait plus brûlante encore »
Les images sont fortes et l'Egypte se dessine sous nos yeux. J’ai parfaitement retrouvé cette ambiance surchauffée qui caractérise cette terre.

La description de son héroïne Tahoser est fabuleuse "La tête semblait endormie plutôt que morte ; les paupières, encore frangées de leurs longs cils, faisaient briller entre leurs lignes d'antimoine des yeux d'émail lustrés des humides lueurs de la vie : on eût dit qu'elles allaient secouer comme un rêve léger leur sommeil de trente siècles."Bon rien à voir avec une momie réelle, mais elle est envoutante.

En fait plus que l’histoire qui nous est contée, d’un romantisme outrancier, ce qui m’a plu ce sont les descriptions d’une vie qui se déroulait il y a 3000 ans. C’est un guide de l’Egypte ancienne. La précision rappel à la vie ce monde que j’ai ressenti à l’origine de notre civilisation. Il donne vie à ses murs brulés de chaleur, à ses rues ou l’on cherche l’ombre, à ses palais dont les ruines évoquent un monde disparu.

Une chose me choque. C’est le regard forcé concernant les différentes nationalités: un noir est simiesque, un savant est allemand, un anglais est un dandy, un Grec est roublard et un juif est cupide. Cela reflète peut être son époque quoique j’ai un doute. Mais cela me choque.

En bref, il nous donne à voir l’histoire de l’Egypte.
A réserver au amateur d’Egyptologie et de descriptifs emprunts d’une trace de Zola.
J'ai aimé.

lundi 11 juin 2007

Atelierroute

Dans le Noord Amsterdam, il y a un marin qui.............

Je m'égare.
Dans le Noord Amsterdam, un weekend de visite des ateliers d’artistes permet d’entrer en contact direct avec les créateurs.

La route à suivre n’est pas toujours bien indiquée, mais le chassé croisé des visiteurs nous permet toujours de retrouver notre chemin.
Petit poucet de la route des ateliers nous suivons notre inspiration pour découvrir les richesses que recel la créativité Amsterdamoise.

Kees Tabak, photographe

Une rencontre avec un homme, un photographe, qui a côtoyé de grands noms de la scène et qui ouvre son atelier au public.
Il répond avec gentillesse à nos questions. Il vie depuis 7 ans dans son atelier/maison dans le nord Amsterdam. Il a acheté hangar nu et aménagé à l’intérieur un espace de vie/studio photo. De grandes surfaces vitrées laissent passer la lumière à travers le toit. Une mezzanine, lieu de vie, occupe une partie de l’espace. Le reste et consacré à son métier, à sa passion : la photo.
A l’occasion de » l’atelierroute » il propose une exposition de photos. Certaines photos sont exposées sur les murs, d’autres sont collées sur des panneaux accrochés à des files qui descendent depuis le haut de la structure métallique du bâtiment. Elles partagent l’espace du studio et semblent flotter dans l’air
Deux époques sont évoquées : un travail récent sur les groupes de musique Hollandais et une rétrospective des photos qu’il à fait dans ses jeunes années. Une époque, nous dit il, ou le monde de la musique était différent. Les stars internationales venaient à Adam pour des interviews. Les approcher pour faire des photographies était facile.
J’aime ses photos. Il saisit avec vérité l’essence de la personnalité de son sujet. Pas de long discours, le mieux c’est encore de les laisser parler les photos.

Un sculpteur est installé de l’autre coté de la rue, célèbre la beauté du corps de la femme. Des formes amples, voluptueuses, harmonieuses. Ici nous sommes loin des corps faméliques que nous présentent les mannequins actuels. Les courbes féminines sont somptueuses, riches. Elles évoquent des statues de l’âge de pierre, découvertes dans la vallée de la Dordogne, représentant la déesse mère. Les statues de bronze sont opulentes avec des hanches larges faites pour enfanter la terre, riches de fécondité, prodigues de vie, généreuses. La vie se dégage avec force de chacune de ses œuvres.
D’autres ateliers présentent le travail varié de différents artistes : peinture, travail du bois, du métal, du cuire, du verre… C’est le règne de la créativité.
Une artiste travail le verre. Elle fabrique des vitraux en utilisant l’emprunte de feuilles d’arbre. Le travail et superbe. Grace à l’emprunte de feuilles qu’elle réaliste dans un moule, elle est capable de couler un verre transparent qui garde la trace des feuilles dans la matière. Elle cherche un procédé qui lui permettra de fabriquer un verre répondant aux normes de sécurité pour l’utiliser dans l’habitat et peupler nos portes et fenêtres de vitres empruntes d’une trace de nature. De la poésie à l’état pure.

Chacun, selon son inspiration, participe à créer des œuvres qui embellissent la vie, expose ses sentiments. La diversité et la richesse humaine s’expriment pleinement.