Un duo très contrasté de pianistes : Katia et Marielle Labèque.
Ce soir au Concertgebouw les pianos sonnent !
Ce soir au Concertgebouw les pianos sonnent !
Au programme :
Claude Debussy (1862-1918), En blanc et noir
Franz Schubert (1797-1828), Fantasie
Enrique Granados (1867-1916), Quejas, o la mala y el ruisenor
Isaac Manuel Francisco Albéniz (1860-1909), « Iberia », Livre 1, 2, 3 pour deux pianos
Sur la scène elles se font face, se jettent un regard et s’élancent : les notes s’enchainent.
Sur la scène elles se font face, se jettent un regard et s’élancent : les notes s’enchainent.
Quatre mains sur deux pianos, mais aussi quatre mains sur un clavier.
Noire et blanche, opposées en deux teintes, celles des touches du piano, un contraste qui leur permet de mieux partager la musique.
L'une bouge, s’emporte, exprime physiquement les élans des notes, l'autre intériorise.
Noire et blanche, opposées en deux teintes, celles des touches du piano, un contraste qui leur permet de mieux partager la musique.
L'une bouge, s’emporte, exprime physiquement les élans des notes, l'autre intériorise.
Elles sont l’expression opposée d'une même source.
Un élan différent qui nous emmène tout droit au cœur de la musique : à l’émotion !
Il semble que Katia tienne dans le clavier la partie haute et claire des aigus, Marielle garde la partie grave des basses. Peut être le miroir de leur deux personnalités : l’une pétillante et extravertie, l’autre calme et introvertie. Une complémentarité qui rayonne dans leur interprétation musicale et qui explose totalement dans les variations qu’elles s’amusent à exécuter en fin de concert !
Merci a vous !
Un élan différent qui nous emmène tout droit au cœur de la musique : à l’émotion !
Il semble que Katia tienne dans le clavier la partie haute et claire des aigus, Marielle garde la partie grave des basses. Peut être le miroir de leur deux personnalités : l’une pétillante et extravertie, l’autre calme et introvertie. Une complémentarité qui rayonne dans leur interprétation musicale et qui explose totalement dans les variations qu’elles s’amusent à exécuter en fin de concert !
Merci a vous !
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