Des musiciens confirmés ou en cours de formation offrent leur talent.
Hier c'était Vital Stahievitch et son piano.
Au programme Beethoven Sonate Nr 31 op 110 et Prokofiev Sonate Nr 4 op 29.
Au programme Beethoven Sonate Nr 31 op 110 et Prokofiev Sonate Nr 4 op 29.
Ses mains caressent et frappent les touches de son piano avec une sensibilité qui vibre dans l’instrument.
Ses deux mains semblent animées d’une vie propre.
Elles jouent, dansent, se répondent sur les touches noirs et blanches.
C’est un ballet qui m’entraine dans la dimension musicale.
Ses émotions se transmettent aux cordes qui vibrent et diffusent les notes.
Une demi-heure de bonheur.
Ses émotions se transmettent aux cordes qui vibrent et diffusent les notes.
Une demi-heure de bonheur.
La taille de la salle ne permet que de la musique en chambre.
Mais cela n’empêche pas la diversité.
Mais cela n’empêche pas la diversité.
La semaine dernière des créateurs de "sons" ont élaborés un morceau avec un mixte d’improvisation et de partition.
Expérience étrange. Avec un appareillage électronique qui reproduit, déforme et amplifie le son. Pas dénué d’intérêt, mais plus difficile à pénétrer.
Expérience étrange. Avec un appareillage électronique qui reproduit, déforme et amplifie le son. Pas dénué d’intérêt, mais plus difficile à pénétrer.
La dextérité de ces jeunes talents me permet de découvrir tout un pan de la musique que je n’ai jamais abordé.
Avec par exemple des instruments à vent.
Trois saxophonistes d’un style diamétralement opposées nous ont offert des évocations saxophoniques. Une aventure musicale qui va du monde dissonant de Luciano Berio, en passant par la transcendance d’Henri Tomasi ou l’énergie de Lee Hyla jusqu'aux grincements de Christian Lauba.
Avec par exemple des instruments à vent.
Trois saxophonistes d’un style diamétralement opposées nous ont offert des évocations saxophoniques. Une aventure musicale qui va du monde dissonant de Luciano Berio, en passant par la transcendance d’Henri Tomasi ou l’énergie de Lee Hyla jusqu'aux grincements de Christian Lauba.
Et oui, j’ai découvert qu’un saxophone peut grincer !
J’ai écouté des duos pleins d’énergie.
Piano et violon se répondent. Mozart et Beethoven sont interprétés pour ma plus grande joie. Les cordes frappées et caressées s’harmonisent en un tableau qui touche par touche amène presto, allegretto, scherzo, la sonate à son apogée.
Flute traversière, basson, hautbois, clarinette un mariage d’instruments qui se retrouvent pour interpréter Ibert, Larsson, Sir Malcolm Henry Arnold.
Ce qui me ravie le plus dans ces concerts ?
En fait c’est le plaisir que tous ses jeunes ont à jouer la musique.
Sous leurs doigts un œuvre musicale prend vie.
Ils nous font partager leur enthousiasme pour ce qu’ils aiment.
Merci pour cette passion qui les anime.
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